Après sa période “signalétique”, François Boisrond se lance à la fin des années 80 dans une peinture plus réaliste, recherchant toujours néanmoins un équilibre entre une écriture simple et une représentation naturaliste.
Au travers de sujets inédits en peinture (télévision, panneaux-Decaux, expositions d’art contemporain...), ces œuvres donnent à voir ce que tout le monde connaît mais ne regarde pas.
Il faut absolument lire l'ouvrage d' Hector Obalk qui lui est consacré : "Bête comme un vrai peintre" Paris, Editions La différence, 1996